« Table de la Thacufeng » : différence entre les versions
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* Apprends des anciens, enseigne aux jeunes, car ainsi se tisse le temps. | * Apprends des anciens, enseigne aux jeunes, car ainsi se tisse le temps. | ||
* L'ignorance volontaire est une insulte à l'intelligence que Dieu t'a donnée. | * L'ignorance volontaire est une insulte à l'intelligence que Dieu t'a donnée. | ||
* Celui qui abuse de son pouvoir trahit la confiance que Dieu lui a accordée. | * Celui qui abuse de son pouvoir trahit la confiance que Dieu lui a accordée. | ||
* Tiens ta parole, car elle est le reflet de ton âme. | * Tiens ta parole, car elle est le reflet de ton âme. | ||
* Celui qui trahit sa promesse trahit sa propre humanité. | * Celui qui trahit sa promesse trahit sa propre humanité. | ||
* Le travail honnête ennoblit l'homme ; l'oisiveté le corrompt. | * Le travail honnête ennoblit l'homme ; l'oisiveté le corrompt. | ||
* Chacun doit contribuer selon ses capacités au bien commun. | * Chacun doit contribuer selon ses capacités au bien commun. | ||
* Protège ta famille comme tu protégerais ta propre âme. | * Protège ta famille comme tu protégerais ta propre âme. | ||
* L'enfant est l'avenir ; celui qui néglige l'avenir condamne le présent. | * L'enfant est l'avenir ; celui qui néglige l'avenir condamne le présent. | ||
* Les liens du sang sont sacrés, mais les liens de l'esprit le sont davantage. | * Les liens du sang sont sacrés, mais les liens de l'esprit le sont davantage. | ||
* Celui qui se laisse consumer par ses désirs devient esclave de la corruption. | |||
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* La richesse mal acquise ne nourrit que la honte. | * La richesse mal acquise ne nourrit que la honte. | ||
* Celui qui corrompt le Beau Pays condamne la communauté. | * Celui qui corrompt le Beau Pays condamne la communauté. | ||
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Les commandements de la Table sont sujets à interprétation par les autorités religieuses, notamment les Shenlù et le Shanryù lui-même. Certains sont appliqués littéralement dans le droit impérial (comme l'interdiction du meurtre), tandis que d'autres servent de guides moraux sans force légale directe. | Les commandements de la Table sont sujets à interprétation par les autorités religieuses, notamment les Shenlù et le Shanryù lui-même. Certains sont appliqués littéralement dans le droit impérial (comme l'interdiction du meurtre), tandis que d'autres servent de guides moraux sans force légale directe. | ||
Le schisme entre les modernistes de Belda' et les conservateurs de | Le schisme entre les modernistes de Belda' et les conservateurs de Thalùn et Miradan porte également sur l'interprétation de certains commandements. | ||
Dernière version du 24 novembre 2025 à 17:34
La Table de la Thacufeng est l'ensemble des commandements écrits par le prophète Sùtèsha, fondateur de la Thacufeng et premier empereur de Belda'. Ces règles constituent les fondements moraux et sociaux du Beau Pays, guidant la vie quotidienne des citoyens de l'Empire.
Nature et importance
La Table de la Thacufeng n'est pas un texte purement spirituel ou abstrait, mais un code de conduite concret qui touche à tous les aspects de la vie en communauté : la moralité personnelle, les relations familiales, le respect de l'autorité, les devoirs envers autrui, et la place de l'individu dans la société.
Ces commandements sont considérés comme la parole directe de Sùtèsha, et donc comme une manifestation de la volonté divine. Les respecter n'est pas seulement une obligation civique ou morale, mais un acte de dévotion religieuse.
La Table est omniprésente dans l'espace public de l'Empire de Belda'. Elle est affichée dans les mairies, les maisons religieuses, les monastères, les écoles, les académies et les casernes militaires, rappelant constamment aux citoyens les principes sur lesquels repose le Beau Pays.
Les Commandements
La Table de la Thacufeng comprend les commandements suivants, transmis par Sùtèsha :
- Celui qui tue ses frères et sœurs ne peut espérer le repos.
- Honore ceux qui t'ont donné la vie.
- Les protecteurs du silence sont les gardiens de Dieu.
- Ce qui est pris à la communauté doit être rendu à la communauté.
- Le fort protège le faible, car la force sans compassion n'est que violence.
- Celui qui divise le peuple rompt le fil sacré qui nous unit.
- La connaissance appartient à tous ; celui qui la cache emprisonne l'esprit.
- Apprends des anciens, enseigne aux jeunes, car ainsi se tisse le temps.
- L'ignorance volontaire est une insulte à l'intelligence que Dieu t'a donnée.
- Celui qui abuse de son pouvoir trahit la confiance que Dieu lui a accordée.
- Tiens ta parole, car elle est le reflet de ton âme.
- Celui qui trahit sa promesse trahit sa propre humanité.
- Le travail honnête ennoblit l'homme ; l'oisiveté le corrompt.
- Chacun doit contribuer selon ses capacités au bien commun.
- Protège ta famille comme tu protégerais ta propre âme.
- L'enfant est l'avenir ; celui qui néglige l'avenir condamne le présent.
- Les liens du sang sont sacrés, mais les liens de l'esprit le sont davantage.
- Celui qui se laisse consumer par ses désirs devient esclave de la corruption.
- La richesse mal acquise ne nourrit que la honte.
- Celui qui corrompt le Beau Pays condamne la communauté.
Interprétation et application
Les commandements de la Table sont sujets à interprétation par les autorités religieuses, notamment les Shenlù et le Shanryù lui-même. Certains sont appliqués littéralement dans le droit impérial (comme l'interdiction du meurtre), tandis que d'autres servent de guides moraux sans force légale directe.
Le schisme entre les modernistes de Belda' et les conservateurs de Thalùn et Miradan porte également sur l'interprétation de certains commandements.